Travaillant comme des salariés mais assimilés à des indépendants, au Portugal, les précaires du « reçu vert » ne s’en sortent pas. Et le font savoir. Pour l’heure, sans résultat tangible.
Avec ses carreaux de faïence et ses balcons en fer forgé, l’immeuble en plein centre de Lisbonne a plutôt fière allure. La cage d’escalier proprette confirme l’impression première et l’appartement que partage Miguel avec deux personnes est en bon état. « Le loyer est de 400 euros
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