Au Québec, l’Indice relatif de bonheur (IRB) est un observatoire de phénomènes sociaux. L’IRB a mesuré cette année le bonheur au travail. « Cinq facteurs déterminants permettent de se déclarer pleinement satisfait de son travail », explique ainsi le quotidien montréalais 24 Heures. L’IRB prend ainsi en compte les relations de travail, la possibilité pour un salarié de se dépasser, le degré d’ouverture d’un employeur, la capacité de ce dernier à améliorer les conditions de travail de ses collaborateurs et, enfin, la rémunération. Au palmarès du classement de l’IRB, le secteur touristique atteint le niveau le plus élevé, suivi de la recherche. En bas du tableau, les travailleurs des secteurs de la construction et de la fonction publique fédérale sont les plus malheureux. L’étude lie le bonheur au travail à la passion plus qu’au salaire, souvent plus élevé dans la fonction publique que dans le tourisme.