Pour les expatriés des ONG, le retour sur le marché du travail est difficile. Mais les entreprises commencent à s’intéresser à leurs profils.
La gestion du retour n’est paschose aisée pour les ONG. Elles sont, par nature, déconnectées de la réalité du marché de l’emploi. Pour elles, l’entreprise fait office de véritable ovni », explique Marie-Cécile Desalbres, ancienne volontaire et responsable associée du cabinet de c
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