Travail forcé et mauvais traitements sont la norme dans les camps chinois. Selon les défenseurs des droits de l’homme, leur production continue à être exportée malgré l’interdiction officielle.
Jetravaillaisde 7 heures à 20 h 30 presque chaque jour. Le dimanche, jour de repos, nous retournions très souvent dans l’atelier pour finir les commandes à temps », raconte Cai Wenjun*. Cette Shanghaienne de 51 ans a passé un an dans un camp laojiao (système de rééducation par le
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