Métropoles | publié le : 01.05.2010
| Laure Dumont
Dans l’industrie, la plus touchée par la crise, les grandes entreprises ont eu recours à la formation et au chômage partiel pour maintenir les gens en poste. L’agroalimentaire et les services ont bien tenu le coup, déployant même des stratégies de fidélisation des salariés.
Pour les entreprises de la région nantaise, la crise a opéré un renversement brutal. « La Loire-Atlantique était très dynamique jusqu’en septembre 2008, raconte Michel Bentounsi, directeur départemental du travail, avec une forte tension sur les recrutements, y compris à Saint-Na
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