Entre salariés oublieux et entreprises imprudentes, les chartes et règles ont du mal à contenir les effets pervers du Web. Pourtant, la responsabilité de l’employeur est lourde.
Une pointe de frustration, un gros ras-le-bol, une grève et voilà le salarié internaute qui se lâche sur la Toile. « Ambiance pourrie », « management inexistant ». L’entreprise est rhabillée en trois clics et sa réputation entachée à jamais par un internaute toujours anonyme. Ave
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