Les DRH ne siègent pas nécessairement aux comités exécutifs, mais ils travaillent étroitement avec les dirigeants. Leur influence grandit. Et la gestion de la crise, qui les met en première ligne, ne fait que renforcer la tendance.
Depuis dix-huit mois, la mission qui revient aux DRH a été mise à mal. Fini, les joies de la croissance, la crise est passée par là. Les recrutements bloqués, on demande dorénavant aux directeurs des ressources humaines d’exécuter le sale boulot : chômage partiel, restructuration
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