Menée par le patronat de l’intérim qui lorgne ce créneau, la négociation sur le cadre juridique du portage est sportive. L’essor de l’autoentrepreneuriat montre pourtant que le marché du travail a besoin de statuts alternatifs.
C’est le monde à l’envers : dans la négociation sur le portage salarial, ouverte en 2009 conformément aux dispositions de la loi de modernisation sociale de juin 2008 qui affirmait la volonté de structurer et de sécuriser ce dispositif, organisations patronales et syndicats de sa
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant