À coups d’injonctions de négocier, de missions et commissions, le gouvernement met la pression sur la prévention du stress. Mais les entreprises restent largement réticentes à s’attaquer aux organisations de travail pathogènes.
Jamais le stress n’aura suscité une telle attention. La vague de suicides chez France Télécom a brutalement éveillé les consciences et incité l’État, principal actionnaire de l’opérateur, à assumer ses responsabilités. Le ministre du Travail, Xavier Darcos, a sommé les entreprise
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant