Depuis l’affaire du sang contaminé dont un ancien Premier ministre socialiste n’a jamais pu se relever, puis la canicule de l’été 2003 qui a carbonisé le ministre de la Santé de l’époque, les hauts responsables politiques et administratifs français sont tétanisés de devoir un jour répondre de leurs supposés manquements en correctionnelle.
D’où l’application littéralement démesurée du principe de précaution, initialement destiné à la sauvegarde de l’environnement mais dérivant vers une idéologie précautionneuse, révélatrice d’une société de retraités hypocondriaques ayant peur de l’avenir. Seul avantage, les réjoui
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