“Mieux vaut se former que chômer”, l’idée a fait son chemin. Pionnière en la matière : l’industrie automobile, incitée à s’engager davantage dans la démarche grâce à un pacte passé avec l’État.
Cette année noire en matière de destructions d’emplois aura au moins eu quelque chose de bon : pour éviter le chômage partiel, contenir les licenciements ou ne pas laisser fuir leurs forces vives, les entreprises ont eu davantage recours à la formation. Au point d’en faire parfoi
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