Primes et bonus faramineux donnent de l’urticaire aux Néerlandais. Et la crise accroît le malaise. Après la loi sur les salaires des P-DG, de nouvelles concessions sont exigées des assureurs et banquiers.
Du jamais-vu dans les polders : sans que personne ne lui ait rien demandé, la très sélective banque Van Lanschot, qui gère les comptes des plus riches Néerlandais, a réduit de 10 % le salaire de ses administrateurs en janvier et supprimé toute prime pour 2008. Mieux encore, son P
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