Pour ce spécialiste du monde de la folie, la souffrance psychique au travail est passée du stade du déni à une certaine forme de banalisation.
Votre précédent livre abordait la folie. Comment en êtes-vous arrivé à enquêter sur la souffrance au travail ?Lorsque j’ai commencé mon enquête sur le monde de la maladie mentale, j’ai été frappé de constater que la psychiatrie s’occupait de plus en plus du tout-venant. Dans 80 %
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