À travers la dénonciation du trafic humain, Passeur d’espoir pointe la violence dans l’ex-Yougoslavie.
Décidément, la question des migrations et de la détresse individuelle des clandestins irrigue le cinéma européen. Cette fois, la caméra ne suit pas un jeune Kurde tentant de traverser la manche (Welcome, de Philippe Lioret) mais une Chinoise, une « pastèque », comme on surnomme s
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