Plans de départs et ruptures conventionnelles ont gagné du terrain. Non sans modifier la gestion et l’accompagnement des réductions d’effectifs.
Les directeurs des ressources humaines des grandes entreprises ont trouvé la solution miracle en ces temps de crise. Fini, le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), désormais ils privilégient le plan de départs volontaires (PDV). De Renault (4 000 départs espérés) à Ernst & Young
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