Les syndicats, le Medef, l'État, les CCI… Tous approuvent la formation tout au long de la vie et militent pour que les acquis professionnels soient pris en compte. Beau consensus, mais reste à répartir les rôles. Qui reconnaît, valide et certifie ?Et, surtout, quelle sera la véritable valeur d'échange de ces certifications, aussi nombreuses qu'impénétrables ? À travers la préparation de la réforme de la formation professionnelle, 1999 pourrait apporter quelques réponses.
« La validation des acquis n'est plus ce beau jardin à la française dont les allées étaient tracées par le seul diplôme. Elle a laissé la place à un véritable maquis. Tout le monde certifie tout le monde. Et personne ne s'y retrouve. » Bernard Liétard, maître de conférences à la
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