Les entreprises semblent plutôt bien s'accommoder de la réforme de la représentativité syndicale. Les zones d'ombre de la loi du 20 août 2008, sources d'insécurité juridique, se réduisent progressivement. Mais la résistance s'organise du côté des syndicats qui ont perdu leur représentativité ou qui risquent de la perdre.
Les entreprises s'adaptent plutôt bien aux nouvelles règles de la démocratie sociale ; les syndicats, un peu moins. Un an et demi après l'adoption, le 20 août 2008, de la loi «portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail», le bilan d'étape de cette r
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