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SANS

Le rétroplaning idéal

SANS | publié le : 11.06.2002 |

Chaque année Evaluation des performances, évaluation des compétences.

Un an avant le retour Rencontre avec un gestionnaire de carrière. Activation des réseaux : contact avec les managers de l'unité d'origine, de la même zone, de la même fonction.

Six mois avant le retour Identification des postes disponibles, premiers entretiens, organisation de la fin de mission dans le pays. Dès cette époque, et si l'organisation est assez souple, possibilité de retour anticipé si un poste se libère.

Trois mois avant le retour Eventuellement, poursuite des entretiens pour la nouvelle affectation. - Relocation : aide au logement, conditions du déménagement, scolarité des enfants, travail du conjoint. - Identification d'actions de formation à mener avant réintégration (mises à jour techniques, par exemple).

Quelques semaines avant le retour, jusqu'au retour Organisation de la succession sur le poste : formation du successeur, éventuellement travail en tandem. Organisation du déménagement.

L'expatrié est en partie responsable du bon déroulement du retour, quitte à alerter son entreprise, faire jouer son réseau, s'il se sent oublié. D'un autre côté, s'il est peu aidé, il dépensera plus d'énergie à préparer son retour et s'inquiètera de sa réintégration, ce qui peut avoir des conséquences sur la fin de sa mission. A l'inverse, ceux qui auront travaillé avec acharnement à la conclusion de cette mission, sans pouvoir dégager de temps pour préparer le retour, seront d'autant plus frustrés de ne pas voir leurs aspirations prises en compte.