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IBM, entreprise high-tech où il fait bon travailler

SANS | publié le : 19.02.2002 |

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IBM, entreprise high-tech où il fait bon travailler

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Où vaut-il mieux travailler quand on est salarié du secteur high-tech ? Chez IBM France, révèle une enquête d'EmploiCenter.com.

De la rémunération à la formation en passant par la communication interne et la durée du temps du travail, EmploiCenter.com, site d'emploi spécialisé dans les nouvelles technologies, vient de publier le classement des vingt premières entreprises high-tech où il fait bon travailler. Avec une note globale de 3,26 sur 5, c'est IBM France qui arrive en tête. Ses points forts ? La qualité du matériel fourni à ses salariés et sa politique de formation.

Diversité des métiers

« Notre principal atout est la diversité de nos métiers qui permet d'assurer à la fois une certaine stabilité, mais aussi de véritables perspectives de carrière pour nos salariés », commente Dominique Calmant, la DRH de cette entreprise. Autre initiative plébiscitée par le personnel d'IBM France, la mise en place de " bureaux de proximité" permettant aux salariés habitant en région parisienne de réduire leurs déplacements. La société américaine devance Hewlett-Packard, Oracle, CSC Peat Marwick et Unilog.

Aux deux dernières places, Cap Gemini Ernst & Young et SQLI, un prestataire en services informatiques, obtiennent des notes inférieures à la moyenne. Cegetel, première entreprise française, apparaît en 7e position (2,94 sur 5). La filiale de Vivendi est particulièrement appréciée pour ses prestations en mat

Faiblesses

Ses faiblesses concernent la progression de carrière et la politique d'intéressement. C'est d'ailleurs sur le thème général de la stimulation financière que les entreprises high-tech sont les plus mal loties. Poussant plus loin son analyse, EmploiCenter.com a cherché à savoir quels étaient, parmi ses 16 critères d'évaluation, ceux qui étaient évalués positivement par les salariés dans leur entreprise. Surprise : si l'ambiance au bureau se classe en tête (3,2 sur 5), la durée et l'aménagement du temps de travail ainsi que les niveaux de salaire obtiennent également des bons résultats.

En revanche, les salariés taclent le travail de leur DRH puisque le suivi des salaires, la gestion des carrières, la communication interne, la politique de formation, les différentes formes d'intéressement et de participation, la qualité de l'encadrement et la couverture sociale obtiennent des scores inférieurs à la moyenne.