Après l’Illusion nationale, un roman-photo sur les villes FN, un deuxième sur les habitants de Denain, ville FN parmi les plus pauvres de France, intitulé Les Racines de la colère, le photo-journaliste, documentariste et auteur Vincent Jarousseau se penche sur un sujet social : les métiers féminisés les plus utiles, pénibles et mal payés, en publiant Les Femmes du Lien aux Éditions Les Arènes.
Qu’est-ce qui, dans votre parcours, vous a donné envie de vous intéresser à ce sujet ?Je viens de la classe populaire de la grande banlieue de Nantes : mon père était peintre en bâtiment, ma mère, femme au foyer. J’ai grandi dans une zone pavillonnaire : mon père s’intéressait à
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