Pris dans un bavardage numérique constant, nous ne pouvons pas nous concentrer pleinement sur nos tâches et encore moins répondre à des exigences de créativité ou d’innovation. Le travailleur moyen consacre un tiers de sa journée à ses e-mails !
L’auteur à succès du New York Times repense le flux de travail de façon à ce qu’il soit différemment structuré pour éviter les problèmes engendrés par la communication permanente. « Lorsque l’on élimine les distractions ainsi que les conversations sans fin à propos du travail, personne n’a besoin de plus de cinq heures pour réaliser les tâches les plus importantes pour l’entreprise », écrit-il en faisant un parallèle (osé) avec la méthode de l’industriel Henri Ford.