Les fondateurs de cette pépite parisienne de la tech avaient, dès le départ de leur aventure entrepreneuriale, la volonté de constituer des équipes diversifiées. Aujourd’hui, YZR compte 50 % de femmes dans ses rangs, des collaborateurs d’origines variées, parfois issus d’une reconversion, et a une pyramide des âges équilibrée.
C’est en quelque sorte le « péché originel » de l’univers des start-up… « Pour créer une jeune pousse, il faut pouvoir prendre des risques à titre personnel. Or il est plus simple d’abandonner un job bien payé ou de se lancer quand on a un filet de sécurité familial et patrimonia
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