Directeur de l’observatoire Droit du travail de l’Institut Sapiens, un think tank libéral, l’avocat Guillaume Brédon a publié récemment une série de propositions pour réformer le droit du travail. Au programme : la réduction des normes (tout en maintenant les droits sociaux), la responsabilisation des acteurs, la démocratisation et la simplification des instances représentatives du personnel.
Pourquoi faut-il, selon vous, poursuivre la réforme du droit du travail ?Parce que la finalisation des réformes permettrait de parvenir au plein-emploi que le président de la République et la Première ministre considèrent à portée de main au cours de ce quinquennat. Entamée en 20
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant