Pour voler au secours des entreprises, de plus en plus sommées par leurs salariés de les protéger face à l’inflation, l’État a adopté plusieurs mesures. Bien sûr, les employeurs peuvent faire plus si leurs finances le permettent. Reste à savoir si, dans tous les cas, les coups de pouce seront suffisants…
Lorsqu’elles avaient, bien avant la crise ukrainienne, bouclé pour 2022 leurs négociations annuelles obligatoires (NAO), les entreprises, en tout cas celles de plus de 50 salariés qui doivent se conformer à ce cadre de discussions sur les salaires et leur éventuelle augmentation,
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant