Pourquoi les savoir-faire sont-ils niés dans les organisations ? « La connaissance des salariés est tacite à 80 %. Et, même formalisés, les contenus détenus par l’entreprise sont loin de suffire à la réalisation des activités », rappelle Sylvain Tigé. Or dans une économie plus immatérielle et instable, ces connaissances sont précieuses pour assurer les résultats ou éviter « les coûts cachés » de la perte de temps. Dans ce livre très proche du knowledge management, ce consultant décrit une méthode pour identifier et manager ces précieuses « pépites » des collaborateurs. Un mémento un peu technique sur le management des connaissances. Une tâche réputée difficile, qui suppose confiance et stabilité des équipes.