C’est le pourcentage de chefs de PME en danger de burn-out lors de la seconde vague de l’épidémie fin 2020, selon l’Observatoire Amarok de l’université de Montpellier. Les effets conjugués « d’un fort sentiment d’être coincé et d’impuissance ont joué de concert pour dégrader significativement la santé mentale des chefs d’entreprise ».