C’est le nombre de « recalés » à l’entrée dans l’enseignement supérieur, en 2013, selon le Céreq. Souvent issus de milieux modestes et de l’enseignement professionnel, ils n’ont pas joué la carte des filières non sélectives dans leurs vœux de candidatures, afin d’entrer dans l’enseignement supérieur « à tout prix ». Mais trois ans après, ils se trouvent éloignés de l’emploi.