Si elle a transformé la physionomie des conseils d’administration, la loi Copé-Zimmermann n’a pas eu l’effet d’entraînement attendu sur la féminisation des instances dirigeantes. De quoi inciter l’exécutif à compléter le cadre législatif existant.
Si elle a transformé la physionomie des conseils d’administration, la loi Copé-Zimmermann n’a pas eu l’effet d’entraînement attendu sur la féminisation des instances dirigeantes. De quoi inciter l’exécutif à compléter le cadre législatif existant.
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