Si elle a transformé la physionomie des conseils d’administration, la loi Copé-Zimmermann n’a pas eu l’effet d’entraînement attendu sur la féminisation des instances dirigeantes. De quoi inciter l’exécutif à compléter le cadre législatif existant.
Le bastion est tombé. Le conseil d’administration n’est plus un « club d’hommes ». Votée le 27 janvier 2011, la loi Copé-Zimmermann relative à « la représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration et de surveillance et à l’égalité professi
Si elle a transformé la physionomie des conseils d’administration, la loi Copé-Zimmermann n’a pas eu l’effet d’entraînement attendu sur la féminisation des instances dirigeantes. De quoi inciter l’exécutif à compléter le cadre législatif existant.
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