C’est chez les hommes la part des célibataires parmi les chômeurs, contre 54 % chez les femmes, indique le Centre d’études de l’emploi et du travail. Le chômage pourrait « retarder la formation de vie en couple et augmenter son risque de dissolution ». Inversement, une rupture conjugale pourrait « augmenter le risque de chômage » en raison de la modification du mode de vie.