C’est la part des jeunes des quartiers prioritaires de la ville (QPV) dépourvus d’emploi trois ans après leur sortie de formation initiale, contre 22 % pour leurs voisins des autres quartiers, selon le Céreq. En revanche, parmi ceux ayant accédé à l’emploi, les contrats de travail obtenus sont assez comparables : en 2016, 59 % des jeunes en QPV au moment du bac occupent un CDI ou sont fonctionnaires, contre 60 % pour les autres.