Permettre aux entreprises de conserver leurs compétences dans l’attente de jours meilleurs en autorisant l’État et l’Unédic à régler une partie des salaires pendant deux ans, c’est le principe du dispositif « d’activité réduite pour le maintien dans l’emploi », une mesure de chômage partiel longue durée que le Parlement a validé le 2 juin.
Il n’y a pas eu de réel suspens. Le 2 juin, peu avant midi, députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire (CMP) pour apporter les dernières touches au projet de loi relatif à la crise sanitaire ont acté le régime d’activité partielle spécifique que le gouvernement y a
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant