Le dirigeant de Samsung, Lee Jae-yong, qui a succédé à son père en 2014, fait acte de contrition. Condamné à cinq ans de prison pour pots-de-vin en 2017 – et libéré dès 2018, il semble avoir pris un nouveau tournant… Ainsi, ce ne seront pas ses enfants qui prendront les rênes du leader mondial de la production de smartphones. La société cherchera au contraire la personne la plus qualifiée parmi les équipes de direction. De même, Lee Jae-yong jure que les politiques antisyndicales en vigueur dans l’entreprise vont changer. Au lieu de combattre systématiquement les syndicats, Samsung « protégera ce droit, de même que la possibilité de faire grève et de lancer des négociations collectives », a-t-il déclaré.