Face à la grogne populaire et la fronde parlementaire, le président Jair Bolsonaro a dû retirer la proposition de loi qu’il avait faite le 19 mars, permettant aux entreprises de réduire de moitié le salaire de leurs employés, qui travaillent moins du fait de la progression de l’épidémie de coronavirus dans le pays. L’actuel gouvernement mettait en avant le fait que cette mesure, qui devait toutefois faire l’objet d’une négociation individuelle avec le salarié, sauverait des emplois. Ceux qui ne touchaient que le salaire minimum avaient cependant été exclus de la mesure proposée…