Parce que l’industrie, c’est l’avenir, comme le proclame l’actuel gouvernement, l’État, en la personne d’Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, a signé, le 18 février dernier, un contrat d’objectifs et de performance avec l’Institut de soudure, pour la période 2020-2023. Le contrat s’appuie sur quatre axes stratégiques répondant aux attentes des entreprises des grands secteurs industriels – pétrole et gaz, nucléaire, aéronautique, transport, construction métallique… Il s’agit ainsi de maintenir des cursus d’excellence pour les acteurs économiques (TPE-PME, grands groupes, collectivités territoriales), quels que soient les niveaux (du lycéen à l’ingénieur, de l’apprenti au demandeur d’emploi) et de développer les outils de formation 4.0, pour répondre aux nouveaux usages et aux besoins industriels, avec l’ambition, notamment, de développer la fabrication additive et la robotisation des procédés et d’améliorer la performance des procédés de fabrication par l’emploi des technologies connectées et la science des données.