Comment, dans le monde ultra-connecté où nous vivons et où la frontière entre vie professionnelle et vie privée devient de plus en plus floue, peut-on être sûr qu’un collaborateur ne va pas envoyer sur sa messagerie privée des fichiers via WeTransfer pour terminer un travail chez lui, ou ne va pas échanger avec des interlocuteurs professionnels de son compte WhatsApp ou Facebook ? Des outils qui ont récemment révélé des failles en termes de sécurité des données. Interdire leur usage dans le cadre professionnel peut-il réellement être suffisant pour prémunir l’entreprise contre tout risque de hacking ? Il faut en douter car l’utilisation de ces applications fait à présent partie du quotidien de chacun, y compris des cadres dirigeants. Et les habitudes ont la vie dure. Pour mieux contrôler la situation, certaines entreprises choisissent d’investir dans la technologie. Elles misent sur la prise en main d’applications maison intuitives, adaptées aux besoins des salariés, et sur une sensibilisation au cyber-risque. Finalement, et si tout n’était pas aussi une question d’information et de formation ?