Selon une récente étude du cabinet de recrutement Talenses, plus 90 % des salariés souhaitent travailler en dehors du pays. Si, pour 61 % d’entre eux, la garantie d’un emploi ailleurs est la condition du départ, 32 % accepteraient de partir pour de petits jobs temporaires. Les États-Unis, le Canada et le Portugal ont leur préférence lorsqu’il s’agit de désigner un pays d’accueil. Et même si certains mettent en avant le désir de « connaître d’autres cultures », le chômage et la crise économique apparaissent comme les stimulants les plus forts pour 25 % des personnes interrogées, tandis que 22 % citent l’absence de perspective d’évolution professionnelle.