« Nous n’avons pas à l’ordre du jour des primes ou d’autres coups de pouce comme suggéré par le gouvernement. D’abord, parce que nos décisions d’ordre social ne se font pas en fonction d’annonces présidentielles et, ensuite, parce que je n’ai pas attendu les annonces pour bien traiter mes salariés. Nous offrons ainsi des salaires au-dessus de la moyenne. D’ailleurs, mes chauffeurs sont restés solidaires du projet collectif que je porte en travaillant – malgré les barrages sur les routes… En outre, j’ai récemment annoncé dans la newsletter du groupe que les salariés auraient droit encore cette année à la participation. Certes, elle est obligatoire, mais nous l’avons majorée de 25 % l’an dernier. Enfin, nous verrons lors de la NAO, que nous faisons malgré notre petite taille, s’il y a lieu de prendre d’autres initiatives. »