À en croire les médias, la France serait l’eldorado des startup. Si auparavant, les jeunes rêvaient d’une carrière dans un grand groupe, aujourd’hui, par peur de l’ennui et volonté de changer le monde, beaucoup aspirent à lancer leur entreprise. Le profil du startuper, lui, n’a pas changé. Il s’agit toujours d’un trentenaire parisien diplômé. Après avoir brossé le portrait-robot des jeunes pousses, l’auteur se lance dans un plaidoyer pour démocratiser l’entrepreneuriat et donner aux défavorisés les capacités de créer une startup. Au-delà de contribuer au développement économique, le mouvement des startup est l’opportunité de réduire la fracture sociale et territoriale.