Après avoir privilégié les hauts cadres, les organisations se rendent compte que la transformation, indispensable, de leurs modes de fonctionnement passe par des gestionnaires venus de la base. À condition que ces derniers réussissent…
La voie royale – celle des hauts potentiels, que l’on bichonnait pour qu’ils fassent un jour partie du comité de direction, voire prennent le poste de DG ou de président ? « Surévaluée ! », tonne Hugo Manoukian, PDG de MoovOne, une start-up RH spécialisée dans le coaching numériq
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