Dans un ouvrage récent consacré au burnout, les auteurs soulignent l’incohérence de faire porter à l’être humain le poids de la responsabilité exclusive de ce syndrome, déjà vécu le plus souvent comme extrêmement culpabilisant. Si la personnalité, le tempérament et les soucis personnels jouent un rôle, de nombreux autres facteurs doivent être pris en considération.
Votre livre se fonde sur des témoignages de victimes du burnout que vous avez accompagnées et sur une enquête réalisée au printemps 2017 auprès d’une centaine de spécialistes suisses romands de la santé. Pourquoi cette double approche ?Malgré la diversité des signes d’atteinte à
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