Des femmes dévêtues et grimées en petit faon pour une soirée de fin d’année, des remarques sexistes, une atmosphère dans les bureaux résolument « mecs »… C’est une lettre d’une salariée détaillant ces éléments avant de quitter l’entreprise qui a fait (enfin) réagir Evan Spiegel, le patron de la start-up américaine Snap, à l’origine d’une application gratuite de partage de photos et de vidéos, révèle le site Web Business Insider. S’il a bien « viré » les responsables de la soirée, il est moins clair sur la manière dont il entend faire évoluer la culture d’entreprise. Pour l’instant, la société a demandé l’aide de consultants extérieurs, a effectué une enquête en interne sur le ressenti des salariés et a changé son système de promotion.