La signature a eu lieu en grande pompe, le 29 mai dernier, au siège de l’Organisation internationale du travail à Genève, en présence de Jean-Bernard Lévy, PDG du groupe EDF, et des secrétaires généraux de deux fédérations syndicales mondiales, Valter Sanches pour IndustriAll Global Union et Rosa Pavanelli pour l’Internationale des services publics (ISP), impliqués dans le nouvel accord d’employeur responsable qu’EDF a signé avec les représentants syndicaux, tant au niveau national que mondial. L’accord, qui couvre les droits humains et sociaux, concerne l’ensemble des activités d’EDF dans 24 pays et garantit le développement d’un socle social commun aux 160 000 salariés du groupe.
Au-delà des deux fédérations syndicales mondiales, quelque 11 fédérations syndicales nationales des sociétés d’EDF ont participé aux négociations et aux efforts de coconstruction d’un document comprenant plusieurs engagements innovants en matière de responsabilité sociale, comme, par exemple, la transparence fiscale, la protection des lanceurs d’alerte, la lutte contre la corruption et les fraudes, la lutte contre la violence et le harcèlement au travail, le devoir de vigilance à l’attention des sous-traitants et des fournisseurs, l’égalité entre les femmes et les hommes, la lutte contre les discriminations relatives à l’orientation sexuelle…
Plus généralement, cet accord promeut les droits humains, la diversité, la santé-sécurité et le développement des compétences, ainsi que la protection sociale des salariés et des sous-traitants partout où le groupe est implanté, sans oublier le principe d’une transition juste vers des économies écologiquement durables.