Alors que les gouvernements français successifs ont toujours privilégié le développement des « métiers d’avenir », qui requièrent plutôt des profils qualifiés et diplômés, les Canadiens, pragmatiques, misent depuis longtemps sur des petits boulots. Avec succès.
Si le Canada met régulièrement en avant des entreprises telles que Bombardier, Ubisoft ou BlackBerry – des sociétés qui recrutent un grand nombre de diplômés appartenant aux meilleures universités – pour asseoir son image de pôle technologique, la réalité est plus contrastée. « C
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