« Il ressort que l’Allemagne met davantage en avant ses ressources humaines dans ses leviers de compétitivité. La capacité à recruter une main-d’oeuvre qualifiée est ainsi le critère qui revient le plus souvent dans la bouche des industriels allemands. À la lumière de ce résultat, il est cohérent que le système de formation, en particulier l’apprentissage, constitue l’élément que les industriels français envient le plus à leurs homologues allemands »