Selon les conclusions de l’étude 2017 de l’IBET, l’indice de bien-être au travail, présentées par le groupe Apicil et le cabinet Mozart Consulting, ce sont les non-qualités de l’organisation du travail qui sont la première cause de dégradation de la compétitivité des entreprises du secteur privé, « à relativiser avec la baisse des coûts salariaux et des charges sociales en débat actuellement avec la loi Travail », indiquent-ils. Pour les 18,3 millions de salariés du privé, l’impact du mal-être au travail représente ainsi un coût moyen par salarié de 12 600 euros.