Les accidents de la route restent la première cause de mortalité au travail. Des entreprises misent sur la sensibilisation et des modifications de l’organisation du travail pour limiter les risques d’endormissement.
Quatre cent quatre-vingt-trois personnes ont perdu la vie lors d’un trajet domicile-travail ou d’un déplacement dans le cadre d’une mission professionnelle en 2015. Or dans 12 % des accidents, le facteur de la somnolence est présent ; il est même déterminant pour 72 % d’entre eux
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant