Dans un courrier daté du 28 septembre envoyé à ses adhérents, au ministère du Travail et à la DGT, la CGPME considère que « les adhérents de l’Unapl ne peuvent être pris en compte par l’UPA ». Dans la perspective de la mesure de la représentativité patronale, l’UPA et l’Unapl ont décidé de se réunir dans l’U2P, « première force patronale du pays » réunissant 2,3 millions d’entreprises. La CGPME considère que les deux organisations ne peuvent additionner leurs voix car l’Unapl, organisation multiprofessionnelle, ne peut donc prétendre à la représentativité interprofessionnelle.