Les négociations pour « préparer l’avenir de Renault en France » ont démarré le 22 septembre. Destinées à durer jusqu’au 13 décembre, elles aborderont l’emploi et les compétences (au menu des discussions le 4 octobre), la reconnaissance, le management et l’organisation du travail (notamment du temps de travail), ou encore le dialogue social. La négociation portera également sur les engagements du constructeur en matière d’activité et d’investissements. Entre 2013 et 2016, 7 200 postes net ont été supprimés parmi les effectifs entrant dans le périmètre de l’accord (45 000 salariés fin 2015), tandis que l’intérim (8 000 emplois) a triplé, selon les syndicats.