H. Landier, L’Harmattan, 268 pages, 27 euros.
L’organisation taylorienne était en partie inspirée des théories mécanistes. Le management était articulé comme un mécano. L’entreprise moderne est plus complexe dans son fonctionnement interne et dans sa dynamique : les paramètres interagissent selon une logique polycellulaire, davantage apparentée à la biologie. L’auteur, professeur au groupe IGS, tente de cerner ce changement de paradigme en termes d’organisation et de RH. Son objectif : aider les acteurs à composer avec l’incertitude et la globalité.