Pour faciliter leur insertion, près de 9 jeunes sur 10 se disent prêts à accepter un emploi qui ne correspond pas à leur formation, ou à travailler dans un autre secteur d’activité, d’après un sondage Prism’emploi-OpinionWay publié le 15 juin. Mais pas sur n’importe quel poste : si les deux tiers se disent attirés par le métier de vendeur, seul un tiers accepterait un emploi de cuisinier, jugé pénible. Les postes d’aide à domicile sont jugés, eux, trop peu rémunérateurs.